Empierrage
Empierrage
A leur origine, les chemins étaient utilisés pour l'exploitation des parcelles agricoles, de véritables et innombrables voies de communication entre le champ et la ferme. Formant jadis un maillage très fin, il s'est éclairci au fil de l'évolution des matériels et des techniques agricoles, puis du remembrement.
Ces chemins qui véhiculaient hommes et chevaux attelés devaient supporter le passage de lourdes charges et le prétinement des chevaux. Ces chemins étaient empierrés, avec la plupart du temps les pierres trouvées et découvertes au fil des labours de plus en plus profonds dans les champs.
A fil du temps, dans de nombreux chemins inutilisés, l'humus a recouvert parfois plus de 50 cm cet empierrement initial et cet empierrage est fréquement retrouvé au fil des passages, on dit alors "le fond est dur...".
Afin que tous les randonneurs, notamment Pédestres et VTTistes puissent utiliser les chemins, il est nécéssaire en certains endroits particulièrement humides de réaliser des aménagements. L'empierrage en fait partie. Il n'a pas vocation à éliminer l'eau de ruissellement, car à moins de la canaliser, il est très difficile de s'y opposer, mais plutôt de rendre un fond plus dur.
A la plus grande satisfaction des randonneurs Pédestres et VTTistes, depuis sa création, Chemins Pour Tous a déposé plus de 42 tonnes de pierres et de tout-venant dans les chemins de la région...
Ornière
Chemin innondé
Aménagement du milieu d'un chemin qui était devenu impraticable, même en été, suite à la pose et à l'écoulement d'un drain en provenance d'un champ voisin.
Canalisation de source
Empierrage du chemin et réfection du fossé du chemin du "Vieux Lavardin" à "La Bigottière" afin de re-canaliser la source qui s'écoulait depuis plusieurs année dans le milieu chemin au lieu de gagner le fossé qui avait été creusé à l'origine pour la canaliser. Résultat: ce chemin est désormais praticable en hiver, ce qui n'était pas le cas avant cette opération.